Fem*Fém - la revue féministe avec une perspective scientifique
Fem*Fém
(auparavant FemInfo) est la revue de l'Association suisse Recherches Féministes qui paraît 2 fois par an. Elle contient des articles d'auteurs*trices venant de différents contextes, académiques
et non-académiques, sur des thèmes pertinents de politique sociale dans une perspective féministe. On y trouve également des infos sur les congrès, cours ou publications en relation avec la
recherche femmes et genres.
Les membres de l'Association reçoivent gratuitement Fem*Fém. Il est également possible de s'abonner comme non-membre (CHF 50.- par an).
Bon plan : As-tu envie de nous aider pour les traductions en français et en allemand ? En guise de remerciement, tu recevras des exemplaires gratuits. Contact : redaktion@femwiss.ch
Numéro actuel
Fem*Fém 68 « (Anti)Militarisme. Perspectives féministes sur la guerre et la résistance »
Contenu et contributions sélectionnées
Publiez votre travail dans FemInfo !
Vous avez rédigé une thèse de licence, de master ou de doctorat dans une perspective féministe, vous faites des recherches dans ce sens ou vous êtes confrontée à ce sujet dans votre pratique professionnelle et vous souhaitez publier votre travail ou votre article ? Dans ce cas, veuillez nous contacter à l'adresse redaktion@femwiss.ch !
Texte: Merve Kayikci. Engagée sur Twitter sous le pseudo @primamuslima ainsi que sur le web sur www.primamuslima.de.
Entretien entre Alma Redzic et SaïdA Keller-Messahli. Saïda Keller-Messahli est musulmane et défenseuse des droits humains. Elle est la fondatrice et la présidente du Forum pour un Islam progressiste ainsi que co-fondatrice de la Mosquée libérale Rushd-Goethe de Berlin.
L’amour est-il un outil de la domination masculine ?
L’été passé, je travaillais pour un projet de thèse, et afin de trouver l’inspiration, je posais cette question provocatrice sur mon mure Facebook et laissais mes ami*e*s y répondre. Invariablement, on disait que l’amour était exempte de domination et que ce qui liait deux être amoureux n’avait rien à voir avec le patriarcat. Ah bon.